Le Marais Girard
mardi 27 janvier 2009
lundi 19 janvier 2009
Parc du grand Blottereau (NANTES)
Le Parc du Grand Blottereau
Il a été légué à la Ville de Nantes par l'armateur Thomas Dobrée.
Il a été légué à la Ville de Nantes par l'armateur Thomas Dobrée.
La glacière servait à stocker jusque pendant l'été la glace récoltée l'hiver dans les étangs ou les pièces d'eau, destinée à conserver viande et gibier...

Le château du 18ème siècle, œuvre de l'architecte Ceineray.
Vidéo: Le Château.
vendredi 16 janvier 2009
Zone Humide
Pour méditer: une pensée de Pascal
L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui ; l'univers n'en sait rien.
Blaise Pascal
Bon Week-End à tous.
dimanche 11 janvier 2009
Port d'Oran 1961
Un petit retour dans les limbes du passé

Sur le port d'Oran année 1961

"Que sont mes amis devenu..."
Ami bidasse d'infortune
Ami Pied_Noir
Ami Arabe
Alonso toi qui tourna une quille pour moi.
Caparoz le métallo.
Fuentes, toi qui était un maitre pour rénover les foyers à essence.
Toi, le cafetier de Perregaux qui nous ouvrais malgré le couvre feu.
Toi, jeune bambin de Saïda qui vendais à la sauvette de sublimes beignets confectionnés par ta mère.
A Saïda les "commandos de chasse" menaient la vie dure aux habitants (L'armée française n'a pas être fière de cela).
Toi le Pied-noir du quartier de la Marine à Oran, victime alors que ce n'était certainement pas toi qui avais mis la révolte en ce pays, tu n'étais qu'un ouvrier bien tranquille qui n'aspirais qu'à un bon voisinage..
Les vrais coupables qui s’étaient enrichis sur le pays depuis longtemps étaient parti.
Peu importe tu as eu droit à l'exil "la valise ou le cercueil"...
Toi le Harki à qui tant de promesses furent faites, égorgé par tes frères qui n'avaient rien compris, ou relégué dans des camps de fortune en métropole...
Ami Pied_Noir
Ami Arabe
Alonso toi qui tourna une quille pour moi.
Caparoz le métallo.
Fuentes, toi qui était un maitre pour rénover les foyers à essence.
Toi, le cafetier de Perregaux qui nous ouvrais malgré le couvre feu.
Toi, jeune bambin de Saïda qui vendais à la sauvette de sublimes beignets confectionnés par ta mère.
A Saïda les "commandos de chasse" menaient la vie dure aux habitants (L'armée française n'a pas être fière de cela).
Toi le Pied-noir du quartier de la Marine à Oran, victime alors que ce n'était certainement pas toi qui avais mis la révolte en ce pays, tu n'étais qu'un ouvrier bien tranquille qui n'aspirais qu'à un bon voisinage..
Les vrais coupables qui s’étaient enrichis sur le pays depuis longtemps étaient parti.
Peu importe tu as eu droit à l'exil "la valise ou le cercueil"...
Toi le Harki à qui tant de promesses furent faites, égorgé par tes frères qui n'avaient rien compris, ou relégué dans des camps de fortune en métropole...
jeudi 8 janvier 2009
Marsyas & Olympe
Un jour Athéna fit une flûte double avec des os de cerf et en joua à un banquet des dieux. Elle ne parvenait pas à comprendre pourquoi Héra et Aphrodite riaient en silence en se cachant derrière leurs mains bien que la musique semblât ravir les autres dieux; elle se retira donc, seule, dans un bois en Phrygie reprit sa flûte et, au bord d'une rivière, regarda son image dans l'eau pendant qu'elle soufflait dans la flûte. S'étant rendu compte aussitôt que ses joues gonflées et son visage congestionné lui donnaient un aspect comique, elle jeta sa flûte et lança une malédiction sur quiconque la ramasserait.
Marsyas fut l'innocente victime. Il trébucha sur la flûte et il ne l'eut pas plus tôt appuyée sur ses lèvres que, se souvenant de la musique d'Athéna, la flûte se mit à jouer toute seule. Il parcourut ainsi la Phrygie dans la suite de Cybèle enchantant les paysans qui s'exclamaient qu' Apollon lui-même n'aurait pas pu jouer mieux même sur sa lyre; et Marsyas commit l'imprudence de ne pas les contredire. Cela provoqua, bien sûr, la colère d'Apollon qui lui proposa un concours dont le vainqueur aurait le droit d'infliger au vaincu le châtiment de son choix. Le concours se déroulait sans qu'aucun vainqueur s'imposât; lorsque Apollon, interpellant Marsyas, s'écria: " Je te défie de faire sur ton instrument ce que je fais: tourne-le à l'envers, joue et chante en même temps. "
Faire cela avec une flûte était manifestement impossible et Marsyas n'y parvint pas. Alors Apollon se vengea de Marsyas de la plus cruelle façon: il l'écorcha tout vif et cloua sa peau à un pin près de la grotte où le fleuve Marsyas prend sa source.
Marsyas fut l'innocente victime. Il trébucha sur la flûte et il ne l'eut pas plus tôt appuyée sur ses lèvres que, se souvenant de la musique d'Athéna, la flûte se mit à jouer toute seule. Il parcourut ainsi la Phrygie dans la suite de Cybèle enchantant les paysans qui s'exclamaient qu' Apollon lui-même n'aurait pas pu jouer mieux même sur sa lyre; et Marsyas commit l'imprudence de ne pas les contredire. Cela provoqua, bien sûr, la colère d'Apollon qui lui proposa un concours dont le vainqueur aurait le droit d'infliger au vaincu le châtiment de son choix. Le concours se déroulait sans qu'aucun vainqueur s'imposât; lorsque Apollon, interpellant Marsyas, s'écria: " Je te défie de faire sur ton instrument ce que je fais: tourne-le à l'envers, joue et chante en même temps. "
Faire cela avec une flûte était manifestement impossible et Marsyas n'y parvint pas. Alors Apollon se vengea de Marsyas de la plus cruelle façon: il l'écorcha tout vif et cloua sa peau à un pin près de la grotte où le fleuve Marsyas prend sa source.
lundi 5 janvier 2009
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