jeudi 30 mai 2019

Insecte



Cétoine doré


Celui ci d'un joli vert métallique...



Celui ci noir légèrement plus petit


lundi 27 mai 2019

Insecte, Arachnide

   
Insecte
 

Je ne l'ai pas encore identifié ?
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Arachnide


Misumena vitia

Appelée araignée-crabe



jeudi 23 mai 2019

Insecte


Dans le monde des insectes


Coléoptère



 Criocère du lys

Il s'ataque au feuilles des Lys


jeudi 16 mai 2019

Insecte


Un monde souvent ignoré




Chrysolina américa



lundi 13 mai 2019

Insecte


Le monde des insectes



  
Clyte Bélier

Un monde que beaucoup ignorent..



jeudi 9 mai 2019

Faune en Californie


Presidio de San Diego
 

Merle d’Amérique


Un écureuil gris dans la verdure

Il semble bien replet, conséquence des reliefs de repas des visiteurs.

lundi 6 mai 2019

Californie


San diego
 
Sculpture



Balboa Park


 
"Niki de Saint Phalle, née Catherine Marie-Agnès Fal de Saint-Phalle, à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine, le 29 octobre 1930 et morte à La Jolla, comté de San Diego, Californie le 21 mai 2002, est une plasticienne, peintre, sculptrice et réalisatrice de films franco-américaine."


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jeudi 2 mai 2019

Mexique


Des dieux ou des rois


Décors d'un hôtel 

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Tonathiuh
(Sculpture en obsidienne)

Chez les aztèques dieu personnifiant le soleil.


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mercredi 1 mai 2019

1er Mai

 Mai
 Joyeux mois de mai




Mai

Je ne laisserai pas se faner les pervenches
Sans aller écouter ce qu'on dit sous les branches
Et sans guetter, parmi les rameaux infinis,
La conversation des feuilles et des nids.
Il n'est qu'un dieu, l'amour ; avril est son prophète.
Je me supposerai convive de la fête
Que le pinson chanteur donne au pluvier doré ;
Je fuirai de la ville, et je m'envolerai
- Car l'âme du poète est une vagabonde -
Dans les ravins où mai plein de roses abonde.
Là, les papillons blancs et les papillons bleus,
Ainsi que le divin se mêle au fabuleux,
Vont et viennent, croisant leurs essors gais et lestes,
Si bien qu'on les prendrait pour des lueurs célestes.
Là, jasent les oiseaux, se cherchant, s'évitant ;
Là, Margot vient quand c'est Glycère qu'on attend ;
L'idéal démasqué montre ses pieds d'argile ;
On trouve Rabelais où l'on cherchait Virgile.
Ô jeunesse ! ô seins nus des femmes dans les bois !
Oh ! quelle vaste idylle et que de sombres voix !
Comme tout le hallier, plein d'invisibles mondes,
Rit dans le clair-obscur des églogues profondes !
J'aime la vision de ces réalités ;
La vie aux yeux sereins luit de tous les côtés ;
La chanson des forêts est d'une douceur telle
Que, si Phébus l'entend quand, rêveur, il dételle
Ses chevaux las souvent au point de haleter,
Il s'arrête, et fait signe aux Muses d'écouter.

                                                                                                  Victor Hugo