vendredi 29 février 2008
La Maison Fournaise
lundi 25 février 2008
Totems
NANTES - le parc du Grand Blottereau
protéger le village contre les esprits maléfiques et les épidémies.
A leurs pieds, les doltap, sont constitués de pierres déposées par les habitants en guise de prières.
Le jardin coréen du parc du Grand Blottereau a été inauguré en septembre 2006 lors de la 19e édition de la Folie des plantes. Le jardin de “la colline de Suncheon” qui, avec son emprise d’un hectare, est le plus grand jardin coréen.
jeudi 14 février 2008
Falaise & Estran
Pour voir toutes les photos :
http://picasaweb.google.fr/DanielMadeleine/Estran02
Bonne visite.
vendredi 8 février 2008
mardi 5 février 2008
Ecureuil Roux
Repas de l’Ecureuil celui-ci grignote avidement une pomme de pin.
Si nous ni prenons garde l’existence de l’écureuil roux et menacée par l’arrivée de l'écureuil gris, originaire d’Amérique. La menace viendrait d'Italie ou l’on dénombre plusieurs colonies…
Pour ceux intéressé par le sujet voir le site : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_938_ecureuil_gris_rouge.php
vendredi 1 février 2008
Maraud
Chacun sont territoire,
Où on peut les voir.
Le chat
Dans ma cervelle se promène,
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde,
C'est là son charme et son secret.
Cette voix, qui perle et qui filtre,
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon cœur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
II
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressée une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.
(Les Fleurs du mal) – Charles Baudelaire