youpie, j'ai appris un nouveau mot aujourd'hui. "gabelous". Je ne connaissais pas. On n'utilise pas des mots comme cela en Suisse romande. :-) Bonne année mon cher Daniel et merci pour tout le partage durant l'année écoulée. On va encore vivre de bons moments en 2009, j'en suis sûre. Bises
@Olivier : Apres la balade, je reste au chaud, au coin de la cheminée…Toi aussi tu as du avoir besoin d’un bon chocolat bien chaud après ta collecte d’images sous la neige.
@Miss_Yyes : Des vestiges de corps de garde on en trouve un peut partout sur les cotes française, ici il a été mis en valeur, cas souvent les ruines disparaissent c’est dommage.
@Thérèse : Oui nous avons tous un passé et un avenir, l’un ne va pas sans l’autre…
@claude : Ce n’est nullement désagréable une petite balade dans le frima matinal… pour le pique-nique mieux vaut s’installer sur la plage avec sa « gabelle bien sur »… ;o))
@delphinium : Les Gabelous surveillaient le littoral pour empêcher les gents de venir prendre de l’eau de mer pour récupérer du sel, si mes infos sont bonne la loi qui interdit de prendre de l’eau de mer est toujours en application (fort heureusement pas appliquée), il est vrai nos politiques ne manquent pas d’imagination pour prélever des taxes…
@Marie-Noyale : Ce sentier a été réaménagé pour le tourisme, j’ignore sons état du temps de la gabelle ?
@Lucie : Tu as la lumière… j’ignorais cette chansons de Georges, il est vrai j’ignore tant de choses, ce n’est pas mal dans le fond cela permet d’apprendre un peut chaque jour. La gabelle devait être la bête noire du peuple tout comme Gargamel la bête noire des petits Schtroumfs.
@Lucie : Mea culpa j’ai voulu modifier mon message et j’ai effacé le tien par erreur, je pleure …..
Ah Daniel mon ami, sèche tes larmes salées ! Tu n'as pas gardé le message que tu as reçu ? Si tu l'as, renvois le moi comme cela j'aurai ton adresse courriel et je demanderai gentiment à Lucie de te remettre son si intéressant comment !
Addenda: Pour me faire pardonner par Lucie... ******************* Edith Piaf - Le Contrebandier lyrics Il était né sur la frontière, Là-haut dans le Nord où c'qu'y a du vent. Contrebandier tout comme son père, Il avait la fraud' dans le sang. Il attendait les nuits sans lune - Quand il fait sombre, on passe bien mieux. - Pour s'faufiler par les grandes dunes Où l'vent de la mer nous pique les yeux.
Ohé, la douane ! Ohé, les gabelous ! Lâchez tous les chiens Et puis planquez-vous Au fond de vos cabanes. Regardez sur la dune L'homme qui passe là-bas. Il est pourtant seul Mais vous n'l'aurez pas. Il s'fout d'la douane Au fond de vos cabanes, Allez, planquez-vous Et lâchez les chiens. Ohé, les gabelous ! Ohé, la douane !
Quand il avait rien d'autre à faire, Les nuits où qu'il faisait trop clair, Il changeait les poteaux frontières Et foutait le monde à l'envers Ou bien, d'autres fois, en plein passage, Quand il avait bu un bon coup, Il poussait de vrais cris sauvages Et v'là qu'je passe dépêchez-vous.
Ohé, la douane ! Ohé, les gabelous ! Lâchez tous les chiens Et puis planquez-vous Au fond de vos cabanes. Regardez sur la dune L'homme qui passe là-bas. C'est moi, moi tout seul, Mais vous n'm'aurez pas. J'me fous d'la douane Au fond de vos cabanes. Allez, planquez-vous Et lâchez les chiens. Ohé, les gabelous ! Ohé, la douane !
Il pouvait pas s'mettre dans la tête Qu'la loi des hommes, c'est très sérieux. C'était comme une sorte de poète Et ces types-là, c'est dangereux. Alors une nuit qu'y avait d'la lune, Qu'y baladait pour son plaisir, Ils l'ont étendu sur la dune A coup d'fusil pour en finir.
Ohé, la douane ! Ohé, les gabelous ! Planquez tous vos chiens Et puis amenez-vous. Du fond de vos cabanes, C'est d'la belle ouvrage, Seulement, ce soir, Ce n'était qu'un homme. Il travaillait pas. T'entends, la douane ? Alors, fallait pas... Et puis planquez-vous Au fond de vos cabanes. Ohé, les gabelous ! Ohé, la douane !
une petite promenade par ce temps "frais" cela redonne de la force pour la journée. Et après VIVE LE HOT CHOCOLAT ;o)
RépondreSupprimerLa côte n'est pas escarpée, sur ce rivage...
RépondreSupprimerC'est intéressant ce vestige des gabelous
Une vue à l'infini pour bien démarrer l'année et puis un vestige pour nous rappeler que ce n'est pas à n'importe quel prix.
RépondreSupprimerUne promenade au bord du littoral ok, mais uniquement quand il fait super beau. Est-ce un bel endroit pour pique-niquer en apportant sa gabelle ?
RépondreSupprimeryoupie, j'ai appris un nouveau mot aujourd'hui. "gabelous". Je ne connaissais pas. On n'utilise pas des mots comme cela en Suisse romande. :-) Bonne année mon cher Daniel et merci pour tout le partage durant l'année écoulée. On va encore vivre de bons moments en 2009, j'en suis sûre. Bises
RépondreSupprimerIls passaient par de beaux chemins les Gabelous!!!
RépondreSupprimer@Olivier : Apres la balade, je reste au chaud, au coin de la cheminée…Toi aussi tu as du avoir besoin d’un bon chocolat bien chaud après ta collecte d’images sous la neige.
RépondreSupprimer@Miss_Yyes : Des vestiges de corps de garde on en trouve un peut partout sur les cotes française, ici il a été mis en valeur, cas souvent les ruines disparaissent c’est dommage.
@Thérèse : Oui nous avons tous un passé et un avenir, l’un ne va pas sans l’autre…
@claude : Ce n’est nullement désagréable une petite balade dans le frima matinal… pour le pique-nique mieux vaut s’installer sur la plage avec sa « gabelle bien sur »… ;o))
@delphinium : Les Gabelous surveillaient le littoral pour empêcher les gents de venir prendre de l’eau de mer pour récupérer du sel, si mes infos sont bonne la loi qui interdit de prendre de l’eau de mer est toujours en application (fort heureusement pas appliquée), il est vrai nos politiques ne manquent pas d’imagination pour prélever des taxes…
@Marie-Noyale : Ce sentier a été réaménagé pour le tourisme, j’ignore sons état du temps de la gabelle ?
@Lucie : Tu as la lumière… j’ignorais cette chansons de Georges, il est vrai j’ignore tant de choses, ce n’est pas mal dans le fond cela permet d’apprendre un peut chaque jour.
La gabelle devait être la bête noire du peuple tout comme Gargamel la bête noire des petits Schtroumfs.
@Lucie : Mea culpa j’ai voulu modifier mon message et j’ai effacé le tien par erreur, je pleure …..
Ah Daniel mon ami, sèche tes larmes salées ! Tu n'as pas gardé le message que tu as reçu ? Si tu l'as, renvois le moi comme cela j'aurai ton adresse courriel et je demanderai gentiment à Lucie de te remettre son si intéressant comment !
RépondreSupprimerScreugneugneu !
Gnap !
Addenda:
RépondreSupprimerPour me faire pardonner par Lucie...
*******************
Edith Piaf - Le Contrebandier lyrics
Il était né sur la frontière,
Là-haut dans le Nord où c'qu'y a du vent.
Contrebandier tout comme son père,
Il avait la fraud' dans le sang.
Il attendait les nuits sans lune
- Quand il fait sombre, on passe bien mieux. -
Pour s'faufiler par les grandes dunes
Où l'vent de la mer nous pique les yeux.
Ohé, la douane !
Ohé, les gabelous !
Lâchez tous les chiens
Et puis planquez-vous
Au fond de vos cabanes.
Regardez sur la dune
L'homme qui passe là-bas.
Il est pourtant seul
Mais vous n'l'aurez pas.
Il s'fout d'la douane
Au fond de vos cabanes,
Allez, planquez-vous
Et lâchez les chiens.
Ohé, les gabelous !
Ohé, la douane !
Quand il avait rien d'autre à faire,
Les nuits où qu'il faisait trop clair,
Il changeait les poteaux frontières
Et foutait le monde à l'envers
Ou bien, d'autres fois, en plein passage,
Quand il avait bu un bon coup,
Il poussait de vrais cris sauvages
Et v'là qu'je passe dépêchez-vous.
Ohé, la douane !
Ohé, les gabelous !
Lâchez tous les chiens
Et puis planquez-vous
Au fond de vos cabanes.
Regardez sur la dune
L'homme qui passe là-bas.
C'est moi, moi tout seul,
Mais vous n'm'aurez pas.
J'me fous d'la douane
Au fond de vos cabanes.
Allez, planquez-vous
Et lâchez les chiens.
Ohé, les gabelous !
Ohé, la douane !
Il pouvait pas s'mettre dans la tête
Qu'la loi des hommes, c'est très sérieux.
C'était comme une sorte de poète
Et ces types-là, c'est dangereux.
Alors une nuit qu'y avait d'la lune,
Qu'y baladait pour son plaisir,
Ils l'ont étendu sur la dune
A coup d'fusil pour en finir.
Ohé, la douane !
Ohé, les gabelous !
Planquez tous vos chiens
Et puis amenez-vous.
Du fond de vos cabanes,
C'est d'la belle ouvrage,
Seulement, ce soir,
Ce n'était qu'un homme.
Il travaillait pas.
T'entends, la douane ?
Alors, fallait pas...
Et puis planquez-vous
Au fond de vos cabanes.
Ohé, les gabelous !
Ohé, la douane !