Ruines region du Tréport
Photos prises lord d'un voyage dans la region du Tréport
Une recherche m'a permis de trouver leurs origines
La, avant la grande guerre, un luxueux hôtel
Bravo pour tes recherches!Et pour ce beau titre.
Il reste des marchesdu tiroir aux souvenirsun hôtel fantôme Monde disparu Face à la mer le néant est-ce l'avenir
Pas besoin d'IA pour toi...Bravo l'artiste...
Vieilles pierres nuesle vent fouille les silences la mémoire tient
Un très bel hôtel qui se transforme en hôpital militaire...Sur les hauteurs du Tréport,un palais s’ouvrait à la mer.Rires et pas légers y dansaient,fenêtres grandes ouvertes sur l’horizon.Puis vinrent les temps de soin,où la joie se fit refuge pour la peine.Les murs, silencieux, accueillirent la douleur,berceau de courage et de prière.Quand la guerre prit pierre et mémoire,il ne resta que l’écho des vies.Ainsi va l’humanité :bâtir, transformer, perdre,et pourtant se souvenir, aimer, recommencer. Bises alpines.
Coucou Dédé tu me semble très inspirée....Bravo....
Daniel:c'est bien dommage que des bâtiments aussi magnifiques restent en ruines.Salu2.
C'est toujours interessant de pouvoir trouver des informations sur des ruines encore en place !Bonne journée DanielBises
Bonjour Daniel, voila de bien belles et attractives archives dans les tiroirs de tes souvenirs.La ville de Tréport avant la guerre de 14/18 avec une carte postale très touchante.
Bravo pour tes recherches!
RépondreSupprimerEt pour ce beau titre.
Il reste des marches
RépondreSupprimerdu tiroir aux souvenirs
un hôtel fantôme
Monde disparu
Face à la mer le néant
est-ce l'avenir
Pas besoin d'IA pour toi...Bravo l'artiste...
SupprimerVieilles pierres nues
Supprimerle vent fouille les silences
la mémoire tient
Un très bel hôtel qui se transforme en hôpital militaire...
RépondreSupprimerSur les hauteurs du Tréport,
un palais s’ouvrait à la mer.
Rires et pas légers y dansaient,
fenêtres grandes ouvertes sur l’horizon.
Puis vinrent les temps de soin,
où la joie se fit refuge pour la peine.
Les murs, silencieux, accueillirent la douleur,
berceau de courage et de prière.
Quand la guerre prit pierre et mémoire,
il ne resta que l’écho des vies.
Ainsi va l’humanité :
bâtir, transformer, perdre,
et pourtant se souvenir, aimer, recommencer. Bises alpines.
Coucou Dédé tu me semble très inspirée....Bravo....
SupprimerDaniel:
RépondreSupprimerc'est bien dommage que des bâtiments aussi magnifiques restent en ruines.
Salu2.
C'est toujours interessant de pouvoir trouver des informations sur des ruines encore en place !
RépondreSupprimerBonne journée Daniel
Bises
Bonjour Daniel, voila de bien belles et attractives archives dans les tiroirs de tes souvenirs.La ville de Tréport avant la guerre de 14/18 avec une carte postale très touchante.
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