Le lac Titicaca
Nous prenons le bateau pour nous rendre sur les îles Uros
Nous naviguons entouré de roseaux nommés "Totora"
A cette altitude la lumiere est féerique sur le lac
Nous devons acquitter un droit de passage
Un comité d’accueil à notre arrivée
Cela fait au premier abord un peu folklorique, il n'en est rien il habitent est vivent sur ces iles.
Le tourisme est tout même une part non négligeable de leur survie et de leurs artisanat.
Les couleurs sont vives
Les couleurs sont vives
On nous proposera un tour dans un bateau fait avec des totoras.
(Des promènes couillons comme comme diraient les gens du midi)
Les îles Uros sont de nos jours habitées par des Aymaras. Ils ont adopté le mode de vie plusieurs fois centenaire des Uros qui ont disparus dans les années 1950.
Malgré tout il prétendent avoir du sang Uros, des mariages pluriethnique avaient eu lieu.
Les îles sont construites à partir de gros blocs de tourbe amarrées avec des cordages le tout recouvert de totora, des couches sont rajoutées régulièrement pour compenser la décomposions des premières couches, les habitations elles sont surélevées sur des couches plus épaisses pour isoler de l'humidité. Malgré-tout d'autres îles doivent être construites car après plusieurs années elles perdent leur flottabilité. Une démonstration nous a été faite de la profondeur de l'eau sous l'île où nous étions, 17 mètres. La totoras est utile à tout sur leurs îles, en premier confectionner les îles, les habitations faire des embarcations, de nouriture, faire du feu...
Les habitants seraient quelques centaines réparti sur une soixantaine d'îles. Ils vivent de pêche de chasse et du tourisme.
Ne nous trompons pas l'île où nous avons débarqué était essentiellement dédié au tourisme, n’empêche que notre visite c'est poursuivie sur une île plus grande, vrai lieu de vie avec des édifices publique, école, bureau de poste, commerce, l’énergie provient de panneaux solaire.
°°
Malgré tout il prétendent avoir du sang Uros, des mariages pluriethnique avaient eu lieu.
Les îles sont construites à partir de gros blocs de tourbe amarrées avec des cordages le tout recouvert de totora, des couches sont rajoutées régulièrement pour compenser la décomposions des premières couches, les habitations elles sont surélevées sur des couches plus épaisses pour isoler de l'humidité. Malgré-tout d'autres îles doivent être construites car après plusieurs années elles perdent leur flottabilité. Une démonstration nous a été faite de la profondeur de l'eau sous l'île où nous étions, 17 mètres. La totoras est utile à tout sur leurs îles, en premier confectionner les îles, les habitations faire des embarcations, de nouriture, faire du feu...
Les habitants seraient quelques centaines réparti sur une soixantaine d'îles. Ils vivent de pêche de chasse et du tourisme.
Ne nous trompons pas l'île où nous avons débarqué était essentiellement dédié au tourisme, n’empêche que notre visite c'est poursuivie sur une île plus grande, vrai lieu de vie avec des édifices publique, école, bureau de poste, commerce, l’énergie provient de panneaux solaire.
°°
Vidéo brut de prise de vue.
°°
°°